• Amable-Guillaume-Prosper Brugière de Barante to August Wilhelm von Schlegel

  • Place of Dispatch: Paris · Place of Destination: Coppet · Date: [März 1810]
Edition Status: Single collated printed full text without registry labelling not including a registry
    Metadata Concerning Header
  • Sender: Amable-Guillaume-Prosper Brugière de Barante
  • Recipient: August Wilhelm von Schlegel
  • Place of Dispatch: Paris
  • Place of Destination: Coppet
  • Date: [März 1810]
  • Notations: Datum sowie Empfangsort erschlossen.
    Printed Text
  • Provider: Dresden, Sächsische Landesbibliothek - Staats- und Universitätsbibliothek
  • OAI Id: 32725617Z
  • Bibliography: Steig, Reinhold: Zeugnisse zur Pflege der deutschen Litteratur in den Heidelberger Jahrbüchern, In: Neue Heidelberger Jahrbücher 11 (1901), S. 248.
  • Incipit: „j’ai fort à vous remercier, du soin que vous avez bien voulu prendre pour ce que je souhaite. il me semble [...]“
    Language
  • French
j’ai fort à vous remercier, du soin que vous avez bien voulu prendre pour ce que je souhaite. il me semble que le secrétaire des annalles litteraires doit être un homme tout convenable et fort instruit. on ne rédige assurement pas le journal de Heidelberg avec autant de facilité que nos journaux de France et il y faut plus de savoir. quant au savoir faire je m’en passerai bien, je ne veux que m’instruire et m’occuper. ainsi, monsieur, je m’en rapporte pleinement à vous. si vous croyez que la chose puisse convenir, je vous remercierai de la conclure. je vous prie, monsieur, de croire à mon sincère et durable attachement.
de Barante.
j’ai fort à vous remercier, du soin que vous avez bien voulu prendre pour ce que je souhaite. il me semble que le secrétaire des annalles litteraires doit être un homme tout convenable et fort instruit. on ne rédige assurement pas le journal de Heidelberg avec autant de facilité que nos journaux de France et il y faut plus de savoir. quant au savoir faire je m’en passerai bien, je ne veux que m’instruire et m’occuper. ainsi, monsieur, je m’en rapporte pleinement à vous. si vous croyez que la chose puisse convenir, je vous remercierai de la conclure. je vous prie, monsieur, de croire à mon sincère et durable attachement.
de Barante.
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