• Antoine Jean Letronne to August Wilhelm von Schlegel

  • Place of Dispatch: Paris · Place of Destination: Paris · Date: [Ende 1831]
Edition Status: Single collated printed full text with registry labelling
    Metadata Concerning Header
  • Sender: Antoine Jean Letronne
  • Recipient: August Wilhelm von Schlegel
  • Place of Dispatch: Paris
  • Place of Destination: Paris
  • Date: [Ende 1831]
  • Notations: Datum sowie Absende- und Empfangsort erschlossen.
    Printed Text
  • Bibliography: Briefe von und an August Wilhelm Schlegel. Gesammelt und erläutert durch Josef Körner. Bd. 2. Zürich u.a. 1930, S. 231.
  • Incipit: „[1] Monsieur,
    Je suis confus des choses aimables que vous me dites, tant je suis loin de les mériter. Sans fausse modestie, [...]“
    Manuscript
  • Provider: Dresden, Sächsische Landesbibliothek - Staats- und Universitätsbibliothek
  • Classification Number: Mscr.Dresd.e.90,LIX,B,Nr.17
  • Number of Pages: 1 S. auf Doppelbl., hs. m. U.
  • Format: 18,2 x 11,5 cm
    Language
  • French
[1] Monsieur,
Je suis confus des choses aimables que vous me dites, tant je suis loin de les mériter. Sans fausse modestie, je suis parfaitement convaincu que vous nʼavez rien à apprendre de moi; ce que je sais, vous le savez mieux que moi, et vous savez une foule de choses que jʼignore. Aussi, lorsque jʼaurai lʼhonneur de vous voir, le rôles changeront, et ce sera vous, si vous le permettez, qui serez le professeur; avec vous, je ne puis être que lʼécolier. A partir dʼaujourdʼhui, je ne sortirai point de chez moi avant deux heures. Jʼespèrerai quʼun jour ou lʼautre vos occupations vous porteront du côte de
la rue de Tivoli.
Veuillez agréer lʼassurance des sentimes dʼadmiration et de haute estime que vous a voués depuis longtemps votre très humble serviteur
Letronne

Ce mardi
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[1] Monsieur,
Je suis confus des choses aimables que vous me dites, tant je suis loin de les mériter. Sans fausse modestie, je suis parfaitement convaincu que vous nʼavez rien à apprendre de moi; ce que je sais, vous le savez mieux que moi, et vous savez une foule de choses que jʼignore. Aussi, lorsque jʼaurai lʼhonneur de vous voir, le rôles changeront, et ce sera vous, si vous le permettez, qui serez le professeur; avec vous, je ne puis être que lʼécolier. A partir dʼaujourdʼhui, je ne sortirai point de chez moi avant deux heures. Jʼespèrerai quʼun jour ou lʼautre vos occupations vous porteront du côte de
la rue de Tivoli.
Veuillez agréer lʼassurance des sentimes dʼadmiration et de haute estime que vous a voués depuis longtemps votre très humble serviteur
Letronne

Ce mardi
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