• August Wilhelm von Schlegel to Henry T. Colebrooke

  • Place of Dispatch: Bonn · Place of Destination: London · Date: 05.09.1821
Edition Status: Newly transcribed and labelled; double collated
    Metadata Concerning Header
  • Sender: August Wilhelm von Schlegel
  • Recipient: Henry T. Colebrooke
  • Place of Dispatch: Bonn
  • Place of Destination: London
  • Date: 05.09.1821
  • Notations: Absende- und Empfangsort erschlosssen.
    Printed Text
  • Bibliography: Rocher, Rosane und Ludo Rocher: Founders of Western Indology. August Wilhelm von Schlegel and Henry Thomas Colebrooke in correspondence 1820–1837. Wiesbaden 2013, S. 53–58.
  • Incipit: „[1] Mr J’ai été bien heureux d’avoir de vos nouvelles, je commençois à craindre que mes envois s’eussent été égarés. Votre [...]“
    Manuscript
  • Provider: Dresden, Sächsische Landesbibliothek - Staats- und Universitätsbibliothek
  • OAI Id: DE-1a-33441
  • Classification Number: Mscr.Dresd.e.90,XIX,Bd.5,Nr.42
  • Number of Pages: 4S. auf Doppelbl. u. 2 S., hs.
  • Format: 20,7 x 12,5 cm
    Language
  • French
    Editors
  • Möhle, Berit
  • Varwig, Olivia
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[1] Mr J’ai été bien heureux d’avoir de vos nouvelles, je commençois à craindre que mes envois s’eussent été égarés. Votre lettre du 16 Juillet m’a été renvoyée de Paris, d’où je suis de retour ici depuis la fin du mois de Juin. Mes Lors de mon départ les travaux typographiques étaient terminés, à la fonte près qui se fait sous l’inspection d’un savant ami d’après des modèles que j’ai fait fondre sous mes yeux, et. Je suis presque faché de Vous avoir envoyé mon premier essai, presque à peu près tout a été modifié depuis et j’espère, amelioré. Je me flatte surtout que la méthode que j’ai imaginée pour simplifier l’impression, c’est à dire d’enclaver les voyelles et autres petits signes dans le signe corps des consonnes, Sera approuvée, et pourra dans la suite devenir utile même aux imprimeries de Calcutta – Je n’ai que 250 poinçons, et autant de matrices mais au moyen de la fonte ils me donnent la 700 espèces, avec lesquels mais je forme toutes les combinaisons pour lesquelles on a employé 700 poinçons à Serampore et à Calcutta, sans étre reduit aux expédiens comme on l’est souvent dans l’imprimerie de Mr Wilkins.
Je Vous
suis extrêmement reconnoissant de vos renseignemens sur les manuscrits. Ce seroit un de travaux les plus utiles qu’un orientaliste Anglois pourroit entreprendre de publier un Catalogue raisonné des de la Bibl. de la Compagnie des Indes, tel que celui de la Bibliothèque Royale à Paris.
En
me projettant une nouvelle edition du Hitopa mon but est de fournir aux écoliers une lecture agréable et facile, avec les secours qui manquent dans les deux éditions précédentes. J’y joindrai [2] une version latine et des notes. [6] *Faufroit-il dedaigner aujourd’hui d’expliquer un livre, qu’on a pu d’abord aussi prodigieusement mal comprendre - ceci soit dit entre nous - comme le prouve la traduction de Mr.Wilkins? - Je n’ai pas encore comparé la traduction celle de S. W. Jones.
*Vous mettez en doute, Mr. qu’il vaille encore la peine de recourir aux manuscrits du
Hitop. Vous semblez donc admettre que l’édition de Londres ne laisse rien à désirer – Je ne le pense pas, il se peut que l’insuffisance de mes connoissances en soit la cause. Si vous m’en donnez la permission, je soumettrai quelques exemples à votre décision – [2] Je ne me flatte pas qu’on puisse obtenir un texte exclusivement authentique et tel qu’il est sorti de la plume de l’auteur, mais je voudrois un texte cohérent et correct dans toutes ses parties. Il me semble que le recit en prose pêche quelquefois par un trop grand de laconisme, et qu’il y a des circonstances supprimées par la negligence des copistes, d’où il resulte de l’obscurité. Tout ce qui ajoute à la grace de la narration, ce qui l’anime par des détails caractéristiques me paroît donc de bonne prise. Pour les sentences je ne serois suis pas jaloux d’en augmenter le nombre; c’est un le defaut du livre d’en avoir déjà entassé trop, et des sentences qui souvent ne tiennent guère au sujet. Mais je voudrois écarter tout ce qui en défigure le sens – et je pense avoir trouvé quelques Leçons qui corrigent les meilleures préférables, et qui donnent q aux sentences une tournure plus spirituelles. Voulez Vous un exemple? On lit dans les deux éditions dans celle de Londres p. 63.
Cependant c’est un contresens manifeste, car on n’a pas besoin de se faire arracher une dent qui est déjà tombée. Le manuscrit de Paris par le changement d’une seule tel lettre me donne la ver vraie leςon: chalitasya Maintenant la comparaison entre une dent ébranlée qui ne rend plus de service parce qu’elle ne tient pas ferme dans la machoire, et un serviteur sans attachement est parfaite.
Ce sont là des minuties On peut qualifier cela de minuties, mais la philologie est Les sonx soins d’un éditeur doit sont en général minutieux, et surtout dans l’état actuel de la philologie Indienne, q je pense qu’on ne sauroit y mettre trop d’exactitude et qu’il ne faut pas laisser passer une syllabe dont on ne sache rendre compte. [3] Après tout, quand j’aurai bien compulsé ce que j’ai déjà recueilli, la collation ultérieure des manuscrits pour du Hitopadésa de ce livre pourra probablement se reduire à l’inspection des d’un petit certain nombre de passages
Ce que Vous dites de l’argument
tiré d’ fondé sur une citation dans le Hitopad. pour prouver l’existence antérieure du livre dont elle est tirée, est parfaitement juste. Néanmoins il me semble que les copistes pêchent plus souvent par les omissions que par les interpolations, pour lesquelles il falloit d’ailleurs un certain savoir. Si donc une sentence se trouvoit dans un grand nombre de manuscrits tirés de differentes provinces de l’Inde, il en resulteroit, selon moi, une certaine probabilité. Elle s’accroîtroit, si la même citation se rencontroit aussi dans le Panchatantra
Dans la chronologie de la littérature Indienne il faut marcher pas à pas, pour ne pas aller trop loin d’un coté ou de l’autre. Je vous avoue franchement que je penche pour l’opinion d’une haute antiquité. Les communications qui ont eu lieu de l’Inde en Perse sous les Sassanides seront pretieuses à exploiter d’avantage. Mais je suis convaincu qu’on découvrira les traces oblitérées de rapports relat communications bien plus anciens anciennes entre l’Inde et l’Asie antérieure, et de là jusqu’en Grèce.
Je Vous
avois posé parlois dans ma derniere lettre du Roman des sept Sages de Rome - depuis j’ai inspecté l’original grec qui est à Paris en manu Je n’ai pas eu le loisir d’examiner à fond ce manuscrit mais j’ai vu d’abord que la scene y est placée en Perse, et que ce livre [4] s’annonce comme une traduction du Pehlvi. – Sans Il y a aura sans doute beaucoup de parti à tirer du des auteurs Byzantins, qu’on a jusqu’ici furieusement trop généralement negligés. Un savant français me dit qu’il trouve beaucoup des données curieuses sur les doctrines des Philosophes de l’Inde dans les nouveaux Platoniciens.
D’autre part Mr Abel Remusat, savant profond, et de la critique la plus judicieuse, travaille fort à éclaircir les rapports entre l’Inde d’un coté, et la Chine le Tibet et la Tartarie de l’autre. Selon lui les communications littéraires et scientifiques de l’Inde en Chine commencent dans siècles avant notre ère. Connoissez Vous ses Recherches sur les langues Tartares?
Je suis charmé d’apprendre que
Mr Wilson veut nous faire mieux connoitre le théatre Indien. Son dictionnaire, même après votre admirable Amara-Cosha est un travail d’Hercule. Cependant il reste-encore du travail de L’ouvrage à faire, les omissions sont nombreuses.
Vous m’obligeriez beaucoup
Si le cas venoit à se présenter en Angleterre qu’une Collection de manuscrits Sanscrits fût à vendre
à l en bloc, Vous m’obligeriez extrememe infiniment en m’avertissant. Je pourrois peut-être engager notre Gouvernement, qui fait plus pour l’avancement des lettres études qu’aucun autre, d’en faire l’acquisition pour la Bibl. de Berlin[5] La littérature Indienne y a trouvé des fauteurs et des amateurs. Mr de Humboldt le frere ainé du célébre voyageur, ministre d’état et ci-devant m ambassadeur à Vienne et à Londres me mande qu’il s’applique au Sanscrit de toutes ses forces. Comme il est grand connoisseur de langues il trouve sa peine bien recompensée. Il vient de donner un traité sur les noms Géographiques de l’ancienne Espagne, expliqués par la langue Basque.
Mr Klaproth est chargé par le Gouvernement Prussien de faire un catalogue d raisonné des manuscrits chinois et mantchou qui sont à Berlin; il le fait imprimer à l’imprimerie royale de Paris à cause des caractères dont il a besoin. Je l’en crois très capable, seulement je n’approuve pas qu’il se soit servi de la langue Allemande au lieu d’écrire en Latin ou en françois - Mr Remusat s’occupe d’un catalogue des livres Chinois de la B. royale de P. sur lequel le plan duquel il a publié un memoire dès 1818 –
Qu’augurez Vous de
la nouvelle Grammaire Sanscrite de Mr Yates qu’on nous annonce de Calcutta?
[6] Permettez-moi encore une question. A-t-on connoissance de livres *autres que le P. et le Hit, écrits dans la même forme, c’est à dire une narration en prose entremêlée de vers, en Langue Sanscrite et contenant des fables, des contes ou des fictions merveilleuses? Enfin existe-t-il dans la Litt. Ind. des contes de fées?
Je ne veux pas mettre Votre patience plus longtemps à l’Épreuve Veuillez
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[1] Mr J’ai été bien heureux d’avoir de vos nouvelles, je commençois à craindre que mes envois s’eussent été égarés. Votre lettre du 16 Juillet m’a été renvoyée de Paris, d’où je suis de retour ici depuis la fin du mois de Juin. Mes Lors de mon départ les travaux typographiques étaient terminés, à la fonte près qui se fait sous l’inspection d’un savant ami d’après des modèles que j’ai fait fondre sous mes yeux, et. Je suis presque faché de Vous avoir envoyé mon premier essai, presque à peu près tout a été modifié depuis et j’espère, amelioré. Je me flatte surtout que la méthode que j’ai imaginée pour simplifier l’impression, c’est à dire d’enclaver les voyelles et autres petits signes dans le signe corps des consonnes, Sera approuvée, et pourra dans la suite devenir utile même aux imprimeries de Calcutta – Je n’ai que 250 poinçons, et autant de matrices mais au moyen de la fonte ils me donnent la 700 espèces, avec lesquels mais je forme toutes les combinaisons pour lesquelles on a employé 700 poinçons à Serampore et à Calcutta, sans étre reduit aux expédiens comme on l’est souvent dans l’imprimerie de Mr Wilkins.
Je Vous
suis extrêmement reconnoissant de vos renseignemens sur les manuscrits. Ce seroit un de travaux les plus utiles qu’un orientaliste Anglois pourroit entreprendre de publier un Catalogue raisonné des de la Bibl. de la Compagnie des Indes, tel que celui de la Bibliothèque Royale à Paris.
En
me projettant une nouvelle edition du Hitopa mon but est de fournir aux écoliers une lecture agréable et facile, avec les secours qui manquent dans les deux éditions précédentes. J’y joindrai [2] une version latine et des notes. [6] *Faufroit-il dedaigner aujourd’hui d’expliquer un livre, qu’on a pu d’abord aussi prodigieusement mal comprendre - ceci soit dit entre nous - comme le prouve la traduction de Mr.Wilkins? - Je n’ai pas encore comparé la traduction celle de S. W. Jones.
*Vous mettez en doute, Mr. qu’il vaille encore la peine de recourir aux manuscrits du
Hitop. Vous semblez donc admettre que l’édition de Londres ne laisse rien à désirer – Je ne le pense pas, il se peut que l’insuffisance de mes connoissances en soit la cause. Si vous m’en donnez la permission, je soumettrai quelques exemples à votre décision – [2] Je ne me flatte pas qu’on puisse obtenir un texte exclusivement authentique et tel qu’il est sorti de la plume de l’auteur, mais je voudrois un texte cohérent et correct dans toutes ses parties. Il me semble que le recit en prose pêche quelquefois par un trop grand de laconisme, et qu’il y a des circonstances supprimées par la negligence des copistes, d’où il resulte de l’obscurité. Tout ce qui ajoute à la grace de la narration, ce qui l’anime par des détails caractéristiques me paroît donc de bonne prise. Pour les sentences je ne serois suis pas jaloux d’en augmenter le nombre; c’est un le defaut du livre d’en avoir déjà entassé trop, et des sentences qui souvent ne tiennent guère au sujet. Mais je voudrois écarter tout ce qui en défigure le sens – et je pense avoir trouvé quelques Leçons qui corrigent les meilleures préférables, et qui donnent q aux sentences une tournure plus spirituelles. Voulez Vous un exemple? On lit dans les deux éditions dans celle de Londres p. 63.
Cependant c’est un contresens manifeste, car on n’a pas besoin de se faire arracher une dent qui est déjà tombée. Le manuscrit de Paris par le changement d’une seule tel lettre me donne la ver vraie leςon: chalitasya Maintenant la comparaison entre une dent ébranlée qui ne rend plus de service parce qu’elle ne tient pas ferme dans la machoire, et un serviteur sans attachement est parfaite.
Ce sont là des minuties On peut qualifier cela de minuties, mais la philologie est Les sonx soins d’un éditeur doit sont en général minutieux, et surtout dans l’état actuel de la philologie Indienne, q je pense qu’on ne sauroit y mettre trop d’exactitude et qu’il ne faut pas laisser passer une syllabe dont on ne sache rendre compte. [3] Après tout, quand j’aurai bien compulsé ce que j’ai déjà recueilli, la collation ultérieure des manuscrits pour du Hitopadésa de ce livre pourra probablement se reduire à l’inspection des d’un petit certain nombre de passages
Ce que Vous dites de l’argument
tiré d’ fondé sur une citation dans le Hitopad. pour prouver l’existence antérieure du livre dont elle est tirée, est parfaitement juste. Néanmoins il me semble que les copistes pêchent plus souvent par les omissions que par les interpolations, pour lesquelles il falloit d’ailleurs un certain savoir. Si donc une sentence se trouvoit dans un grand nombre de manuscrits tirés de differentes provinces de l’Inde, il en resulteroit, selon moi, une certaine probabilité. Elle s’accroîtroit, si la même citation se rencontroit aussi dans le Panchatantra
Dans la chronologie de la littérature Indienne il faut marcher pas à pas, pour ne pas aller trop loin d’un coté ou de l’autre. Je vous avoue franchement que je penche pour l’opinion d’une haute antiquité. Les communications qui ont eu lieu de l’Inde en Perse sous les Sassanides seront pretieuses à exploiter d’avantage. Mais je suis convaincu qu’on découvrira les traces oblitérées de rapports relat communications bien plus anciens anciennes entre l’Inde et l’Asie antérieure, et de là jusqu’en Grèce.
Je Vous
avois posé parlois dans ma derniere lettre du Roman des sept Sages de Rome - depuis j’ai inspecté l’original grec qui est à Paris en manu Je n’ai pas eu le loisir d’examiner à fond ce manuscrit mais j’ai vu d’abord que la scene y est placée en Perse, et que ce livre [4] s’annonce comme une traduction du Pehlvi. – Sans Il y a aura sans doute beaucoup de parti à tirer du des auteurs Byzantins, qu’on a jusqu’ici furieusement trop généralement negligés. Un savant français me dit qu’il trouve beaucoup des données curieuses sur les doctrines des Philosophes de l’Inde dans les nouveaux Platoniciens.
D’autre part Mr Abel Remusat, savant profond, et de la critique la plus judicieuse, travaille fort à éclaircir les rapports entre l’Inde d’un coté, et la Chine le Tibet et la Tartarie de l’autre. Selon lui les communications littéraires et scientifiques de l’Inde en Chine commencent dans siècles avant notre ère. Connoissez Vous ses Recherches sur les langues Tartares?
Je suis charmé d’apprendre que
Mr Wilson veut nous faire mieux connoitre le théatre Indien. Son dictionnaire, même après votre admirable Amara-Cosha est un travail d’Hercule. Cependant il reste-encore du travail de L’ouvrage à faire, les omissions sont nombreuses.
Vous m’obligeriez beaucoup
Si le cas venoit à se présenter en Angleterre qu’une Collection de manuscrits Sanscrits fût à vendre
à l en bloc, Vous m’obligeriez extrememe infiniment en m’avertissant. Je pourrois peut-être engager notre Gouvernement, qui fait plus pour l’avancement des lettres études qu’aucun autre, d’en faire l’acquisition pour la Bibl. de Berlin[5] La littérature Indienne y a trouvé des fauteurs et des amateurs. Mr de Humboldt le frere ainé du célébre voyageur, ministre d’état et ci-devant m ambassadeur à Vienne et à Londres me mande qu’il s’applique au Sanscrit de toutes ses forces. Comme il est grand connoisseur de langues il trouve sa peine bien recompensée. Il vient de donner un traité sur les noms Géographiques de l’ancienne Espagne, expliqués par la langue Basque.
Mr Klaproth est chargé par le Gouvernement Prussien de faire un catalogue d raisonné des manuscrits chinois et mantchou qui sont à Berlin; il le fait imprimer à l’imprimerie royale de Paris à cause des caractères dont il a besoin. Je l’en crois très capable, seulement je n’approuve pas qu’il se soit servi de la langue Allemande au lieu d’écrire en Latin ou en françois - Mr Remusat s’occupe d’un catalogue des livres Chinois de la B. royale de P. sur lequel le plan duquel il a publié un memoire dès 1818 –
Qu’augurez Vous de
la nouvelle Grammaire Sanscrite de Mr Yates qu’on nous annonce de Calcutta?
[6] Permettez-moi encore une question. A-t-on connoissance de livres *autres que le P. et le Hit, écrits dans la même forme, c’est à dire une narration en prose entremêlée de vers, en Langue Sanscrite et contenant des fables, des contes ou des fictions merveilleuses? Enfin existe-t-il dans la Litt. Ind. des contes de fées?
Je ne veux pas mettre Votre patience plus longtemps à l’Épreuve Veuillez
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