• Eugène Burnouf an August Wilhelm von Schlegel

  • Absendeort: Paris · Empfangsort: Paris · Datum: 31.12.1831
Editionsstatus: Einmal kollationierter Druckvolltext ohne Registerauszeichnung
    Briefkopfdaten
  • Absender: Eugène Burnouf
  • Empfänger: August Wilhelm von Schlegel
  • Absendeort: Paris
  • Empfangsort: Paris
  • Datum: 31.12.1831
    Druck
  • Datengeber: Dresden, Sächsische Landesbibliothek - Staats- und Universitätsbibliothek
  • OAI Id: 362738858
  • Bibliographische Angabe: Burnouf, Eugène: Choix de lettres d’Eugène Burnouf 1825–1852. Suivi d’une bibliographie. Paris 1891, S. 458‒459.
  • Incipit: „[1] Paris, 31 décembre 1831.
    Monsieur,
    Je suis véritablement confus de vous occuper aussi longtemps de mon informe Commentaire sur le Zend- Avesta. [...]“
    Handschrift
  • Datengeber: Dresden, Sächsische Landesbibliothek - Staats- und Universitätsbibliothek
  • OAI Id: DE-611-38972
  • Signatur: Mscr.Dresd.e.90,XIX,Bd.3,Nr.112
  • Blatt-/Seitenzahl: 2 S., hs. m. U.
  • Format: 20,3 x 12,9 cm
    Sprache
  • Französisch
[1] Paris, 31 décembre 1831.
Monsieur,
Je suis véritablement confus de vous occuper aussi longtemps de mon informe Commentaire sur le Zend- Avesta. Jʼabuse réellement de la bienveillance la plus amicale. Ayez la bonté de mʼindiquer un jour où je pourrai, sans vous causer aucun dérangement, aller vous débarrasser de cette besogne. Jʼose espérer que vous serez assez indulgent pour mʼexcuser de nʼavoir pas été plus souvent vous rendre mes devoirs dans ces derniers temps. Jʼai été dérangé, plus que je ne lʼaurais cru, par des occupations peu asiatiques, mais jʼespère, avec le commencement de la nouvelle année, pouvoir reprendre mes [2] études encore trop peu avancées sur Zoroastre.
Veuillez agréer, Monsieur, la nouvelle assurance de mes sentiments respectueux.
Votre très dévoué serviteur,
Eug. Burnouf.
[1] Paris, 31 décembre 1831.
Monsieur,
Je suis véritablement confus de vous occuper aussi longtemps de mon informe Commentaire sur le Zend- Avesta. Jʼabuse réellement de la bienveillance la plus amicale. Ayez la bonté de mʼindiquer un jour où je pourrai, sans vous causer aucun dérangement, aller vous débarrasser de cette besogne. Jʼose espérer que vous serez assez indulgent pour mʼexcuser de nʼavoir pas été plus souvent vous rendre mes devoirs dans ces derniers temps. Jʼai été dérangé, plus que je ne lʼaurais cru, par des occupations peu asiatiques, mais jʼespère, avec le commencement de la nouvelle année, pouvoir reprendre mes [2] études encore trop peu avancées sur Zoroastre.
Veuillez agréer, Monsieur, la nouvelle assurance de mes sentiments respectueux.
Votre très dévoué serviteur,
Eug. Burnouf.
· Abschrift , 31.12.1831
· Paris, Bibliothèque Nationale de France
· NAF 1060, ff 229verso-230recto
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