• August Wilhelm von Schlegel to Auguste Louis de Staël-Holstein

  • Place of Dispatch: Kiel · Place of Destination: Unknown · Date: 5. bis 7. Januar [1814]
Edition Status: Single collated printed full text with registry labelling
    Metadata Concerning Header
  • Sender: August Wilhelm von Schlegel
  • Recipient: Auguste Louis de Staël-Holstein
  • Place of Dispatch: Kiel
  • Place of Destination: Unknown
  • Date: 5. bis 7. Januar [1814]
  • Notations: Datum (Jahr) erschlossen.
    Printed Text
  • Provider: Dresden, Sächsische Landesbibliothek - Staats- und Universitätsbibliothek
  • OAI Id: 335973167
  • Bibliography: Krisenjahre der Frühromantik. Briefe aus dem Schlegelkreis. Hg. v. Josef Körner. Bd. 2. Der Texte zweite Hälfte. 1809‒1844. Bern u.a. ²1969, S. 273‒275.
  • Incipit: „Kiel ce 5 Janv. 1814*)
    Mon cher Auguste, jʼaurais pu terminer ma lettre dʼavant-hier par la phrase royale: celle-ci nʼétant pas à [...]“
    Language
  • French
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Kiel ce 5 Janv. 1814*)
Mon cher Auguste, jʼaurais pu terminer ma lettre dʼavant-hier par la phrase royale: celle-ci nʼétant pas à autre fin etc. En effet jʼavais une telle peur de manquer le courrier que je nʼeus garde de mettre une seule phrase qui ne concernât pas mon envoi. Je me flatte cependant que lʼamusement que la lecture de mon manuscrit des Dépêches interceptées a pu vous procurer, vous aura dédommagé un peu de la sêcheresse de ma lettre. Ce manuscrit doit être entre vos mains si le courrier précédent nʼa pas été arrêté en chemin, je vous supplie de mʼen accuser la reception et de me faire savoir où en est lʼimpression, et quand je puis espérer dʼen avoir des exemplaires.
A présent parlons de vos affaires. Je craignais que vous ne mʼen voulussiez de la réponse négative que je fus chargé de vous donner. Jʼavais pourtant fait votre commission avec le plus grand zèle et ensuite je vous rendis un compte fidèle du résultat. Je pense quʼil est fort heureux que vous ayez été détourné de votre projet. Dʼabord il aurait été facheux de faire un long et ennuyeux voyage par terre et par mer, à la veille du retablissement de communications plus directes avec lʼAngleterre. Ensuite en supposant quʼune réponse affirmative vous fût parvenue dans le plus court délai, vous seriez toujours arrivé après la bataille de Leipsic, et depuis il nʼy a plus eu de grand événement dont vous eussiez pu être témoin – on nʼa vu jusquʼau Rhin que les talons de lʼarmée française – encore fallait-il être Cosaque pour les appercevoir de loin. Pour être mobile, il vous aurait fallu acheter tout de suite une voiture, et des chevaux de voiture et de selle – cela est non seulement dispendieux, mais souvent difficile à trouver à lʼinstant. Vous comptez peut-être pour peu de chose les incommodités de la vie du quartier général, mais ce quʼil y a de plus incommode cʼest quʼon peut sʼy trouver sans rien voir et même sans rien savoir. Pour les affaires diplomatiques, il faut être chef, pour que cela signifie quelquechose, le reste se réduit à écrire des lettres dʼaprès des formulaires, à les copier, et même à en faire les enveloppes.
Ce 7 Janv. Jʼai été interrompu dans cette lettre – jʼai manqué même un courrier anglais pour lʼenvoyer, mais jʼespere quʼelle nʼen arrivera pas plus tard, puisque cʼest le Comte de Balmén qui sʼen charge et quʼun russe voyage toujours plus vite quʼun anglais. Jʼai pris une méfiance particulière contre les courriers anglais depuis quʼun dʼeux sʼest jeté tout droit dans la gueule du commandant de Rendsbourg.
Allons au plus pressé – ce sont vos affaires. Vous me parlez dʼune demande que vous auriez à faire au printemps – vous ne doutez pas (que je nʼy mette le plus grand zêle – je lʼattends donc avec impatience. Mais vous me parlez enfin de retourner en Suède – de grace expliquez-moi cela, je ne comprends rien à ce projet. Si telle est votre intention, je vous conseillerai de toutes les façons de venir par la Hollande et de nous faire une visite en passant. Je pense dʼaprès quelques paroles jetées dans mon dernier entretien avec mon Protecteur que vous seriez très bien accueilli, quʼon vous parlerait en toute confiance, et quʼon vous chargerait de plusieurs choses qui ne peuvent être transmises que verbalement. Mais il faudrait avoir lʼair de voyager pour un autre but – vous connaissez les jalousies que des gens dʼesprit et dʼun mérite comme le vôtre excitent si facilement. Ensuite il faut attendre que nous soyons sortis de ce cul de sac et plus rapprochés. Nous avons vraiment grimpé dans cette Allemagne jusquʼau haut du grenier et nous regardons ici la mer Baltique par une lucarne. Il a fallu perdre tout ce temps pour le grand dénoûment pour mettre à la raison ces Danois que le ciel confonde. Jʼespère cependant que cet épisode sera bientôt terminé et quʼon pourra rentrer dans lʼaction principale – autrement ce serait un défaut dans le plan du poême épique. Nous avons Glückstadt – sʼils ne se hâtent pas de faire la paix nous aurons bientôt Rendsbourg et tout le reste, et nous leur dicteront une nouvelle paix de Roschild. Aussi bien notre Prince est le Charles Gustave de la Suède, le Gustave-Adolphe de lʼAllemagne, et le Guillaume III de lʼEurope.
Voici encore des affaires dʼargent – il sʼannonce deux créanciers de votre frere. Jʼai vu lʼoriginal du billet pour la dette suédoise, il était accompagné dʼune lettre de lʼécriture dʼAlbert sur lʼachat de ses chevaux. Ces pièces sont entre les mains du jeune Comte Schwerin. Je pense quʼil faudra respecter cette dette, dʼautant plus que le créancier est un cousin de ce même général Posse qui a mis des soins si aimables à lʼenterrement de votre frere.
Pour lʼautre créance, cʼest une affaire différente – cʼest sans doute une dette de jeu. Le créancier est un aide de camp de Tettenborn, – ayant dernierement été au quartier général avec son Général, il est venu chez moi, et mʼa dit quʼil mʼavait écrit déjà là-dessus, et que sa lettre avait été accompagnée dʼune autre du Général Tettenborn. Celui-ci cependant ne mʼen a pas dit un mot, quoiquʼil mʼait parlé dʼAlbert, en le regrettant vivement et faisant les plus grands éloges de sa bravoure. M. de Herbert nʼa pas pu me montrer le billet – il ne lʼavait pas apporté, disait-il, ne sachant pas quʼil me trouverait ici. Il mʼen enverra copie – le nom du créancier y est laissé en blanc. Jʼai dit que je nʼavais ni fonds, ni autorisation pour payer les dettes dʼAlbert qui nʼétaient pas encore soldées, mais que je donnerais connaissance à la famille de cette demande. Là-dessus il mʼa écrit la lettre ci-jointe. Madame votre mere prononcera sur ces deux demandes – moi je nʼai rien préjugé, jʼai dit la même chose au Comte Schwerin.
Si vous avez pu stipuler pour mon manuscrit des dépêches interceptées une somme un peu considérable comme je lʼespère, je vous prierais dʼen retenir cent louis pour les rembourser à Madame votre mere. Jʼen ai pris à peu près autant pour mon compte sur une lettre de crédit de 200 Louis quʼelle avait eu la bonté de me donner – le reste a été employé à payer des dettes dʼAlbert. Je mʼen vais mettre au net ce compte – je ne lʼai pu faire jusquʼici – il note encore une petite affaire à Stralsund, dont jʼattends le résultat. Le reste de lʼargent payé par le libraire je souhaiterais lʼavoir en bonne lettre de change sur Brême, Berlin ou quelque autre ville à ma portée.
Jʼai une lettre de change de 500 ₤ sterling sur Mrs. Whitmore à Londres, elle est du 18 Dec. à 60 jours de date. Mais je ne puis la réaliser dans ce moment faute de relations commerciales. Dʼailleurs je compte laisser cet argent en grande partie ou en entier en réserve – il faut penser à lʼavenir. Je vis très-économiquement et ne fais que les dépenses nécessaires.
Je vous envoye deux exemplaires de la collection complette des Bulletins, réimprimés par mes soins. Jʼai pensé quʼil vous serait agréable de les avoir. Ce serait aussi très bien je pense de les réimprimer en Angleterre en y ajoutant ceux qui ont paru depuis jusquʼà présent et que M. Rehausen doit avoir, afin de les répandre en France sʼil est possible. Outre le récit modeste et véridique de cette glorieuse campagne ils contiennent tant de vérités salutaires!
Dans ce même paquet vous trouverez une caricature de Buonaparte faite dans un style vraiment profond et grandiose. Sa figure, très ressemblante, est composée de cadavres artistement groupés – lʼaigle formé le chapeau, le collet est un fleuve de sang – lʼhabit du buste figure lʼAllemagne – le bord antérieur cʼest le Rhin, le bord inférieur le Danube – la plaque est une toile dʼaraignée avec les fils de laquelle il a enveloppé ce pays. Il y a un jeu de mots dans le ruban de la légion dʼhonneur: au lieu dʼErfort on y lit Ehr-fort: lʼhonneur perdu. Faites graver cela de nouveau à Londres, cela ne saurait manquer dʼobtenir le plus grand succès.
Adieu, mon cher Auguste, jʼespère que vous mʼécrirez des éloges sur mes Remarques. Il y a de la force là dedans je pense, et si ce poulet arrive à son adresse, cela donnera un peu de Bauchgrimmen à S.[a] M.[ajesté] I.[mpériale]
Je sais que Mlle Albertine a dansé avec le Duc de Berry au bal du Comte de Dillon – ainsi vous voyez que je ne suis pas mal informé de ce que vous faites. Je vous [trouve] aussi souvent dans the mirror of fashion des journaux anglais.

*) Im Original: 1813.
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Kiel ce 5 Janv. 1814*)
Mon cher Auguste, jʼaurais pu terminer ma lettre dʼavant-hier par la phrase royale: celle-ci nʼétant pas à autre fin etc. En effet jʼavais une telle peur de manquer le courrier que je nʼeus garde de mettre une seule phrase qui ne concernât pas mon envoi. Je me flatte cependant que lʼamusement que la lecture de mon manuscrit des Dépêches interceptées a pu vous procurer, vous aura dédommagé un peu de la sêcheresse de ma lettre. Ce manuscrit doit être entre vos mains si le courrier précédent nʼa pas été arrêté en chemin, je vous supplie de mʼen accuser la reception et de me faire savoir où en est lʼimpression, et quand je puis espérer dʼen avoir des exemplaires.
A présent parlons de vos affaires. Je craignais que vous ne mʼen voulussiez de la réponse négative que je fus chargé de vous donner. Jʼavais pourtant fait votre commission avec le plus grand zèle et ensuite je vous rendis un compte fidèle du résultat. Je pense quʼil est fort heureux que vous ayez été détourné de votre projet. Dʼabord il aurait été facheux de faire un long et ennuyeux voyage par terre et par mer, à la veille du retablissement de communications plus directes avec lʼAngleterre. Ensuite en supposant quʼune réponse affirmative vous fût parvenue dans le plus court délai, vous seriez toujours arrivé après la bataille de Leipsic, et depuis il nʼy a plus eu de grand événement dont vous eussiez pu être témoin – on nʼa vu jusquʼau Rhin que les talons de lʼarmée française – encore fallait-il être Cosaque pour les appercevoir de loin. Pour être mobile, il vous aurait fallu acheter tout de suite une voiture, et des chevaux de voiture et de selle – cela est non seulement dispendieux, mais souvent difficile à trouver à lʼinstant. Vous comptez peut-être pour peu de chose les incommodités de la vie du quartier général, mais ce quʼil y a de plus incommode cʼest quʼon peut sʼy trouver sans rien voir et même sans rien savoir. Pour les affaires diplomatiques, il faut être chef, pour que cela signifie quelquechose, le reste se réduit à écrire des lettres dʼaprès des formulaires, à les copier, et même à en faire les enveloppes.
Ce 7 Janv. Jʼai été interrompu dans cette lettre – jʼai manqué même un courrier anglais pour lʼenvoyer, mais jʼespere quʼelle nʼen arrivera pas plus tard, puisque cʼest le Comte de Balmén qui sʼen charge et quʼun russe voyage toujours plus vite quʼun anglais. Jʼai pris une méfiance particulière contre les courriers anglais depuis quʼun dʼeux sʼest jeté tout droit dans la gueule du commandant de Rendsbourg.
Allons au plus pressé – ce sont vos affaires. Vous me parlez dʼune demande que vous auriez à faire au printemps – vous ne doutez pas (que je nʼy mette le plus grand zêle – je lʼattends donc avec impatience. Mais vous me parlez enfin de retourner en Suède – de grace expliquez-moi cela, je ne comprends rien à ce projet. Si telle est votre intention, je vous conseillerai de toutes les façons de venir par la Hollande et de nous faire une visite en passant. Je pense dʼaprès quelques paroles jetées dans mon dernier entretien avec mon Protecteur que vous seriez très bien accueilli, quʼon vous parlerait en toute confiance, et quʼon vous chargerait de plusieurs choses qui ne peuvent être transmises que verbalement. Mais il faudrait avoir lʼair de voyager pour un autre but – vous connaissez les jalousies que des gens dʼesprit et dʼun mérite comme le vôtre excitent si facilement. Ensuite il faut attendre que nous soyons sortis de ce cul de sac et plus rapprochés. Nous avons vraiment grimpé dans cette Allemagne jusquʼau haut du grenier et nous regardons ici la mer Baltique par une lucarne. Il a fallu perdre tout ce temps pour le grand dénoûment pour mettre à la raison ces Danois que le ciel confonde. Jʼespère cependant que cet épisode sera bientôt terminé et quʼon pourra rentrer dans lʼaction principale – autrement ce serait un défaut dans le plan du poême épique. Nous avons Glückstadt – sʼils ne se hâtent pas de faire la paix nous aurons bientôt Rendsbourg et tout le reste, et nous leur dicteront une nouvelle paix de Roschild. Aussi bien notre Prince est le Charles Gustave de la Suède, le Gustave-Adolphe de lʼAllemagne, et le Guillaume III de lʼEurope.
Voici encore des affaires dʼargent – il sʼannonce deux créanciers de votre frere. Jʼai vu lʼoriginal du billet pour la dette suédoise, il était accompagné dʼune lettre de lʼécriture dʼAlbert sur lʼachat de ses chevaux. Ces pièces sont entre les mains du jeune Comte Schwerin. Je pense quʼil faudra respecter cette dette, dʼautant plus que le créancier est un cousin de ce même général Posse qui a mis des soins si aimables à lʼenterrement de votre frere.
Pour lʼautre créance, cʼest une affaire différente – cʼest sans doute une dette de jeu. Le créancier est un aide de camp de Tettenborn, – ayant dernierement été au quartier général avec son Général, il est venu chez moi, et mʼa dit quʼil mʼavait écrit déjà là-dessus, et que sa lettre avait été accompagnée dʼune autre du Général Tettenborn. Celui-ci cependant ne mʼen a pas dit un mot, quoiquʼil mʼait parlé dʼAlbert, en le regrettant vivement et faisant les plus grands éloges de sa bravoure. M. de Herbert nʼa pas pu me montrer le billet – il ne lʼavait pas apporté, disait-il, ne sachant pas quʼil me trouverait ici. Il mʼen enverra copie – le nom du créancier y est laissé en blanc. Jʼai dit que je nʼavais ni fonds, ni autorisation pour payer les dettes dʼAlbert qui nʼétaient pas encore soldées, mais que je donnerais connaissance à la famille de cette demande. Là-dessus il mʼa écrit la lettre ci-jointe. Madame votre mere prononcera sur ces deux demandes – moi je nʼai rien préjugé, jʼai dit la même chose au Comte Schwerin.
Si vous avez pu stipuler pour mon manuscrit des dépêches interceptées une somme un peu considérable comme je lʼespère, je vous prierais dʼen retenir cent louis pour les rembourser à Madame votre mere. Jʼen ai pris à peu près autant pour mon compte sur une lettre de crédit de 200 Louis quʼelle avait eu la bonté de me donner – le reste a été employé à payer des dettes dʼAlbert. Je mʼen vais mettre au net ce compte – je ne lʼai pu faire jusquʼici – il note encore une petite affaire à Stralsund, dont jʼattends le résultat. Le reste de lʼargent payé par le libraire je souhaiterais lʼavoir en bonne lettre de change sur Brême, Berlin ou quelque autre ville à ma portée.
Jʼai une lettre de change de 500 ₤ sterling sur Mrs. Whitmore à Londres, elle est du 18 Dec. à 60 jours de date. Mais je ne puis la réaliser dans ce moment faute de relations commerciales. Dʼailleurs je compte laisser cet argent en grande partie ou en entier en réserve – il faut penser à lʼavenir. Je vis très-économiquement et ne fais que les dépenses nécessaires.
Je vous envoye deux exemplaires de la collection complette des Bulletins, réimprimés par mes soins. Jʼai pensé quʼil vous serait agréable de les avoir. Ce serait aussi très bien je pense de les réimprimer en Angleterre en y ajoutant ceux qui ont paru depuis jusquʼà présent et que M. Rehausen doit avoir, afin de les répandre en France sʼil est possible. Outre le récit modeste et véridique de cette glorieuse campagne ils contiennent tant de vérités salutaires!
Dans ce même paquet vous trouverez une caricature de Buonaparte faite dans un style vraiment profond et grandiose. Sa figure, très ressemblante, est composée de cadavres artistement groupés – lʼaigle formé le chapeau, le collet est un fleuve de sang – lʼhabit du buste figure lʼAllemagne – le bord antérieur cʼest le Rhin, le bord inférieur le Danube – la plaque est une toile dʼaraignée avec les fils de laquelle il a enveloppé ce pays. Il y a un jeu de mots dans le ruban de la légion dʼhonneur: au lieu dʼErfort on y lit Ehr-fort: lʼhonneur perdu. Faites graver cela de nouveau à Londres, cela ne saurait manquer dʼobtenir le plus grand succès.
Adieu, mon cher Auguste, jʼespère que vous mʼécrirez des éloges sur mes Remarques. Il y a de la force là dedans je pense, et si ce poulet arrive à son adresse, cela donnera un peu de Bauchgrimmen à S.[a] M.[ajesté] I.[mpériale]
Je sais que Mlle Albertine a dansé avec le Duc de Berry au bal du Comte de Dillon – ainsi vous voyez que je ne suis pas mal informé de ce que vous faites. Je vous [trouve] aussi souvent dans the mirror of fashion des journaux anglais.

*) Im Original: 1813.
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