• François Guizot an August Wilhelm von Schlegel

  • Absendeort: Paris · Empfangsort: Bonn · Datum: 29.06.1836
Editionsstatus: Neu transkribiert und ausgezeichnet; zweimal kollationiert
    Briefkopfdaten
  • Absender: François Guizot
  • Empfänger: August Wilhelm von Schlegel
  • Absendeort: Paris
  • Empfangsort: Bonn
  • Datum: 29.06.1836
  • Anmerkung: Empfangsort erschlossen.
    Handschrift
  • Datengeber: Dresden, Sächsische Landesbibliothek - Staats- und Universitätsbibliothek
  • OAI Id: DE-1a-33708
  • Signatur: Mscr.Dresd.e.90,XIX,Bd.9,Nr.58
  • Blatt-/Seitenzahl: 2S. auf Doppelbl., hs. m. U.
  • Format: 20 x 12,3 cm
  • Incipit: „[1] Monsieur
    Permettez-moi de recommander à votre bienveillance un de mes amis, Mr. de Maleteste, qui va conduire à l’Université de [...]“
    Sprache
  • Französisch
    Editorische Bearbeitung
  • Steinbrink, Gesa
  • Varwig, Olivia
[1] Monsieur
Permettez-moi de recommander à votre bienveillance un de mes amis,
Mr. de Maleteste, qui va conduire à l’Université de Bonn deux jeunes gens dont l’un est le fils cadet de Mr. de Barante. J’ai espéré que vous voudriez bien les accueillir avec quelque bonté. Ils sont appliqués et spirituels. Mr. de Maleteste est l’ami intime de Mr. de Barante, & un homme de beaucoup d’esprit que vous serez, je n’en doute pas, bien aise de connoître. Je vous remercie d’avance, Monsieur, de ce que vous voudrez bien faire pour eux & je [2] saisis avec grand plaisir cette occasion de me rappeler à votre souvenir.
Recevez je vous prie, Monsieur, l’assurance de la haute considération avec laquelle j’ai l’honneur d’être votre dévoue Serviteur
Guizot
Paris 29 Juin 1836
[3] [leer]
[4] [leer]
[1] Monsieur
Permettez-moi de recommander à votre bienveillance un de mes amis,
Mr. de Maleteste, qui va conduire à l’Université de Bonn deux jeunes gens dont l’un est le fils cadet de Mr. de Barante. J’ai espéré que vous voudriez bien les accueillir avec quelque bonté. Ils sont appliqués et spirituels. Mr. de Maleteste est l’ami intime de Mr. de Barante, & un homme de beaucoup d’esprit que vous serez, je n’en doute pas, bien aise de connoître. Je vous remercie d’avance, Monsieur, de ce que vous voudrez bien faire pour eux & je [2] saisis avec grand plaisir cette occasion de me rappeler à votre souvenir.
Recevez je vous prie, Monsieur, l’assurance de la haute considération avec laquelle j’ai l’honneur d’être votre dévoue Serviteur
Guizot
Paris 29 Juin 1836
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