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Antoine Jean Letronne an August Wilhelm von SchlegelJochenStrobelPhilipps-Universität MarburgClaudiaBambergPhilipps-Universität MarburgRadoslavPetkovUniversität TrierOliviaVarwigPhilipps-Universität MarburgPhilipps-Universität MarburgSächsische Landesbibliothek - Staats- und Universitätsbibliothek DresdenKompetenzzentrum für elektronische Erschließungs- und Publikationsverfahren in den Geisteswissenschaften an der Universität Trier / Trier Center for Digital HumanitiesMitwirkendeJochenStrobelClaudiaBambergNamensnennung - Nicht-kommerziell - Weitergabe unter gleichen Bedingungen 3.0 Deutschland (CC BY-NC-SA 3.0 DE)version-10-19Digitale Edition der Korrespondenz August Wilhelm SchlegelsEinmal kollationierter Druckvolltext mit Registerauszeichnunghttps://august-wilhelm-schlegel.de/version-10-19/letters/view/7538Briefe von und an August Wilhelm Schlegel. Gesammelt und erläutert durch Josef Körner. Bd. 2. Zürich u.a. 1930, S. 231.LetronneanAWS_oDSächsische Landesbibliothek - Staats- und Universitätsbibliothek DresdenMscr.Dresd.e.90,LIX,B,Nr.17ManuscriptOriginal1 S. auf Doppelbl., hs. m. U.18,2 x 11,5 cmDatum sowie Absende- und Empfangsort erschlossen.Antoine Jean LetronneParis[Ende 1831]August Wilhelm von SchlegelParis

[1] Monsieur,Je suis confus des choses aimables que vous me dites, tant je suis loin de les mériter. Sans fausse modestie, je suis parfaitement convaincu que vous nʼavez rien à apprendre de moi; ce que je sais, vous le savez mieux que moi, et vous savez une foule de choses que jʼignore. Aussi, lorsque jʼaurai lʼhonneur de vous voir, le rôles changeront, et ce sera vous, si vous le permettez, qui serez le professeur; avec vous, je ne puis être que lʼécolier. A partir dʼaujourdʼhui, je ne sortirai point de chez moi avant deux heures. Jʼespèrerai quʼun jour ou lʼautre vos occupations vous porteront du côte de la rue de Tivoli.Veuillez agréer lʼassurance des sentimes dʼadmiration et de haute estime que vous a voués depuis longtemps votre très humble serviteurLetronneCe mardi[2][3][4]