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August Wilhelm von Schlegel to Abraham Hayward
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Place of Dispatch: London GND · Place of Destination: Unknown · Date: 5. April [1832]
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Metadata Concerning Header
- Sender: August Wilhelm von Schlegel
- Recipient: Abraham Hayward
- Place of Dispatch: London GND
- Place of Destination: Unknown
- Date: 5. April [1832]
- Notations: Datum (Jahr) sowie Empfangsort erschlossen. – Datierung durch Schlegels London-Aufenthalt.
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Printed Text
- Provider: Sächsische Landesbibliothek - Staats- und Universitätsbibliothek Dresden
- OAI Id: 380757591
- Bibliography: Schmidt, Erich: Ein verschollener Aufsatz A. W. Schlegels über Goethes „Triumph der Empfindsamkeit“. In: Festschrift zur Begrüßung des fünften allgemeinen deutschen Neuphilologentages zu Berlin Pfingsten 1892. Hg. v. Julius Zupitza. Berlin 1892, S. 82.
- Incipit: „My dear Sir, J’ai reçu mon manuscrit ainsi que votre excellent article dans le N[ew] M[onthly] M[agazine], dont je vous suis [...]“
My dear Sir, J’ai reçu mon manuscrit ainsi que votre excellent article dans le N[ew] M[onthly] M[agazine], dont je vous suis infiniment obligé – Recevez mes remerciments en même temps que mes adieux. Après avoir écrit ces lignes, je viens de recevoir votre lettre du 4 avril. La mort de Goethe m’a douloureusement affecté. Mais ce que vous me demandez est impossible. Je pars demain; arrivé chez moi je trouverai tant d’occupations accumulées que je ne saurai pas où donner de la tête. D’ailleurs dans ma position je ne puis pas écrire d’une manière superficielle sur Goethe, cela exigerait de longues méditations. Mais vous ferez cela à merveille, vous ou Mr. Carlyle. Adieu, Monsieur, je vous prie de me conserver un souvenir bienveillant et d’agréer l’assurance de mes sentimens les plus empressés. AWdeSchlegel.
My dear Sir, J’ai reçu mon manuscrit ainsi que votre excellent article dans le N[ew] M[onthly] M[agazine], dont je vous suis infiniment obligé – Recevez mes remerciments en même temps que mes adieux. Après avoir écrit ces lignes, je viens de recevoir votre lettre du 4 avril. La mort de Goethe m’a douloureusement affecté. Mais ce que vous me demandez est impossible. Je pars demain; arrivé chez moi je trouverai tant d’occupations accumulées que je ne saurai pas où donner de la tête. D’ailleurs dans ma position je ne puis pas écrire d’une manière superficielle sur Goethe, cela exigerait de longues méditations. Mais vous ferez cela à merveille, vous ou Mr. Carlyle. Adieu, Monsieur, je vous prie de me conserver un souvenir bienveillant et d’agréer l’assurance de mes sentimens les plus empressés. AWdeSchlegel.