• Anne Louise Germaine de Staël-Holstein to August Wilhelm von Schlegel

  • Place of Dispatch: Stockholm · Place of Destination: Unknown · Date: 26. [Mai 1813]
Edition Status: Single collated printed full text without registry labelling not including a registry
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    Metadata Concerning Header
  • Sender: Anne Louise Germaine de Staël-Holstein
  • Recipient: August Wilhelm von Schlegel
  • Place of Dispatch: Stockholm
  • Place of Destination: Unknown
  • Date: 26. [Mai 1813]
  • Notations: Datum (Monat und Jahr) sowie Absendeort erschlossen.
    Printed Text
  • Provider: Sächsische Landesbibliothek - Staats- und Universitätsbibliothek Dresden
  • OAI Id: 363310770
  • Bibliography: Lettres inédites de Mme de Staël à Henri Meister. Hg. v. Paul Usteri, Eugène Ritter. Paris 1903, S. 259.
  • Incipit: „[1] Stockholm, ce 26 [mai] au matin.
    J’ajoute un mot à ma lettre, en conséquence de celle que je reçois de vous, [...]“
    Manuscript
  • Provider: Sächsische Landesbibliothek - Staats- und Universitätsbibliothek Dresden
  • OAI Id: DE-611-36979
  • Classification Number: Mscr.Dresd.e.90,XIX,Bd.26,Nr.4
  • Number of Pages: 2 S., hs.
  • Format: 20 x 12,4 cm
[1] Stockholm, ce 26 [mai] au matin.
J’ajoute un mot à ma lettre, en conséquence de celle que je reçois de vous, du 20, sur Albert. Merci, tristement à cause du danger, mais enfin merci de ces nouvelles. Dites-lui que j’avais écrit avant de savoir sa situation. Comment n’avez-vous pas ajouté un mot des nouvelles? M. de Wetterstedt écrit huit pages à sa femme; et vous, pas quatre lignes: c’est bien vite se faire plus diplomate que les vrais diplomates, et sacrifier à l’ambition, dans ses moindres nuances, ce qui touche le plus l’amitié. Certes vous devez croire que le cœur me bat à chaque instant.
Que vous dit Alexis de ma réception à Londres? Écrivez-moi à Gothembourg, et [2] n’ayez pas peur de me dire ce que le Prince me dirait. Adieu. Je suis bien aise de vous savoir arrivé, et fâchée contre vous.
Adieu. Votre première lettre, si elle est longue, apaisera ma rancune. Je pars demain.
[1] Stockholm, ce 26 [mai] au matin.
J’ajoute un mot à ma lettre, en conséquence de celle que je reçois de vous, du 20, sur Albert. Merci, tristement à cause du danger, mais enfin merci de ces nouvelles. Dites-lui que j’avais écrit avant de savoir sa situation. Comment n’avez-vous pas ajouté un mot des nouvelles? M. de Wetterstedt écrit huit pages à sa femme; et vous, pas quatre lignes: c’est bien vite se faire plus diplomate que les vrais diplomates, et sacrifier à l’ambition, dans ses moindres nuances, ce qui touche le plus l’amitié. Certes vous devez croire que le cœur me bat à chaque instant.
Que vous dit Alexis de ma réception à Londres? Écrivez-moi à Gothembourg, et [2] n’ayez pas peur de me dire ce que le Prince me dirait. Adieu. Je suis bien aise de vous savoir arrivé, et fâchée contre vous.
Adieu. Votre première lettre, si elle est longue, apaisera ma rancune. Je pars demain.
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