• August Wilhelm von Schlegel an Anne Louise Germaine de Staël-Holstein

  • Absendeort: Bern · Empfangsort: Coppet · Datum: 14. Januar [1812]
Editionsstatus: Einmal kollationierter Druckvolltext mit Registerauszeichnung
    Briefkopfdaten
  • Absender: August Wilhelm von Schlegel
  • Empfänger: Anne Louise Germaine de Staël-Holstein
  • Absendeort: Bern
  • Empfangsort: Coppet
  • Datum: 14. Januar [1812]
  • Anmerkung: Datum (Jahr) sowie Empfangsort erschlossen.
    Druck
  • Bibliographische Angabe: Pange, Pauline de: Auguste-Guillaume Schlegel et Madame de Staël d’apres des documents inédits. Paris 1938, S. 348‒349.
  • Incipit: „[Mardi] B[erne] ce 14 janvier.
    Chère amie, j’écris ces lignes uniquement pour me plaindre de ce que je n’ai point eu de [...]“
    Sprache
  • Französisch
[Mardi] B[erne] ce 14 janvier.
Chère amie, j’écris ces lignes uniquement pour me plaindre de ce que je n’ai point eu de lettres de vous dimanche – cela est d’autant plus fâcheux, ce jour de poste, qu’alors il y a nécessairement un intervalle de trois jours jusqu’au mercredi. Vous ne manquez guère à vos promesses, les nouvelles de votre santé n’ont pas encore été telles que je les aurois souhaitées – cela me fait craindre que quelque indisposition ne vous ait empêchée d’écrire. Cependant je me flatte que dans ce cas-là Albertine l’auroit fait à votre place, et je compte être tranquillisé demain par l’arrivée d’une lettre.
Mille adieux, je n’ai rien appris de nouveau.
[Mardi] B[erne] ce 14 janvier.
Chère amie, j’écris ces lignes uniquement pour me plaindre de ce que je n’ai point eu de lettres de vous dimanche – cela est d’autant plus fâcheux, ce jour de poste, qu’alors il y a nécessairement un intervalle de trois jours jusqu’au mercredi. Vous ne manquez guère à vos promesses, les nouvelles de votre santé n’ont pas encore été telles que je les aurois souhaitées – cela me fait craindre que quelque indisposition ne vous ait empêchée d’écrire. Cependant je me flatte que dans ce cas-là Albertine l’auroit fait à votre place, et je compte être tranquillisé demain par l’arrivée d’une lettre.
Mille adieux, je n’ai rien appris de nouveau.
· Übersetzung , 14.01.1812
· Pange, Pauline de: August Wilhelm Schlegel und Frau von Staël. Eine schicksalhafte Begegnung. Nach unveröffentlichten Briefen erzählt von Pauline Gräfin de Pange. Dt. Ausg. von Willy Grabert. Hamburg 1940, S. 277.
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