• Antoine Jean Letronne an August Wilhelm von Schlegel

  • Absendeort: Paris · Empfangsort: Paris · Datum: Dienstag, [vermutlich zwischen September 1831 und Februar 1832]
Editionsstatus: Neu transkribiert und ausgezeichnet; zweimal kollationiert
    Briefkopfdaten
  • Absender: Antoine Jean Letronne
  • Empfänger: August Wilhelm von Schlegel
  • Absendeort: Paris
  • Empfangsort: Paris
  • Datum: Dienstag, [vermutlich zwischen September 1831 und Februar 1832]
  • Anmerkung: Absende- und Empfangsort sowie Datum (Monat und Jahr) erschlossen. − Der Ton des kurzen Briefes lässt darauf schließen, dass dieser aus der Anfangsphase der Bekanntschaft zwischen Schlegel und Letronne stammt, die Datierung lediglich durch den Wochentag weist darauf hin, dass sich beide zum Abfassungszeitpunkt am gleichen Ort befanden. Vermutlich stammt der Brief also aus der Zeit von Schlegels Paris-Aufenthalt zwischen September 1831 und Februar 1832.
    Handschrift
  • Datengeber: Dresden, Sächsische Landesbibliothek - Staats- und Universitätsbibliothek
  • OAI Id: 478137443
  • Signatur: Mscr.Dresd.e.90,LIX,B,Nr.17
  • Blatt-/Seitenzahl: 1 S. auf Doppelblatt
  • Incipit: „[1] Monsieur,
    Je suis confus des choses aimables que vous me dites, tant je suis loin de les mériter. Sans fausse [...]“
    Sprache
  • Französisch
    Editorische Bearbeitung
  • Dänekas, Laura
  • Golyschkin, Ruth
[1] Monsieur,
Je suis confus des choses aimables que vous me dites, tant je suis loin de les mériter. Sans fausse modestie, je suis parfaitement convaincu que vous n’avez rien à apprendre de moi; ce que je sais, vous le savez mieux que moi, et vous savez une foule de choses que j’ignore. Aussi, lorsque j’aurai l’honneur de vous voir, les rôles changeront, & ce sera vous, si vous le permettez, qui serez le professeur; avec vous, je ne puis être que l’écolier. A partir d’aujourd’hui, je ne sortirai point de chez moi avant deux heures. J’esperai qu’un jour ou l’autre vos occupations vous porteront au Côté de la
rue de Rivoli.
Veuillez agréer l’assurance des sentimens d’admiration & de haute estime que vous a voués depuis longtemps votre très humble serviteur
Letronne
Ce mercredi
[2] [leer]
[3] [leer]
[4] [leer]
[1] Monsieur,
Je suis confus des choses aimables que vous me dites, tant je suis loin de les mériter. Sans fausse modestie, je suis parfaitement convaincu que vous n’avez rien à apprendre de moi; ce que je sais, vous le savez mieux que moi, et vous savez une foule de choses que j’ignore. Aussi, lorsque j’aurai l’honneur de vous voir, les rôles changeront, & ce sera vous, si vous le permettez, qui serez le professeur; avec vous, je ne puis être que l’écolier. A partir d’aujourd’hui, je ne sortirai point de chez moi avant deux heures. J’esperai qu’un jour ou l’autre vos occupations vous porteront au Côté de la
rue de Rivoli.
Veuillez agréer l’assurance des sentimens d’admiration & de haute estime que vous a voués depuis longtemps votre très humble serviteur
Letronne
Ce mercredi
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