• Ximénès Doudan an August Wilhelm von Schlegel

  • Absendeort: Paris · Empfangsort: Paris · Datum: [zwischen September 1831 und Februar 1832]
Editionsstatus: Neu transkribiert und ausgezeichnet; zweimal kollationiert
    Briefkopfdaten
  • Absender: Ximénès Doudan
  • Empfänger: August Wilhelm von Schlegel
  • Absendeort: Paris
  • Empfangsort: Paris
  • Datum: [zwischen September 1831 und Februar 1832]
  • Anmerkung: Absende- und Empfangsort sowie Datum erschlossen. − Da Schlegels „Observations sur la critique du Bhagavad-Gîtâ, insérée dans le Journal Asiatique, par Alexandre Langlois“ erwähnt werden, muss der Brief aus der Zeit nach 1826 stammen. Ximénès Doudan war zudem wohl maximal bis zur Eheschließung von Louis Alphone de Rocca als dessen Privatlehrer in der Familie der de Broglies tätig, sodass der Brief nicht nach 1834 verfasst worden sein kann. Die Billetfrom des Briefes, der Verzicht auf die Ortsangabe und die Verwendung des Wochentags als einzige Zeitangabe deuten darauf hin, dass Schlegel und Doudan sich am gleichen Ort aufhalten. Im Zeitraum zwischen 1826 und 1834 hielt sich Schlegel lediglich zwischen September 1831 und Februar 1832 in Paris auf.
    Handschrift
  • Datengeber: Dresden, Sächsische Landesbibliothek - Staats- und Universitätsbibliothek
  • OAI Id: DE-1a-33442
  • Signatur: Mscr.Dresd.e.90,XIX,Bd.6,Nr.24a
  • Blatt-/Seitenzahl: 1S., hs. m. U.
  • Format: 10,3 x 10,4 cm
  • Incipit: „[1] [...] [Alph]onse & Louise vont bien aujourd’hui, Monsieur. Alphonse est levé & Louise n’est retenue dans son lit que [...]“
    Sprache
  • Französisch
    Editorische Bearbeitung
  • Falk, Clio
  • Golyschkin, Ruth
[1] [...] [Alph]onse & Louise vont bien aujourd’hui, Monsieur. Alphonse est levé & Louise n’est retenue dans son lit que par le pied. je crois qu’elle pourra reprendre demain son train ordinaire.
J’espère, Monsieur, que vous n’avez point souffert hier de votre rhumatisme. J’en veux à
M. Eynard qui vous a enlevé pour toute la soirée. Quand pourrai-je vous demander sans indiscrétion la mémoire sur la Bactriane? Il falloit que vous vinssiez des bords du Rhin pour me rappeller comment on écrivait le français au temps de Pascal, jusqu’à Voltaire.
Bien des respects
X Doudan
vendredi.
[2] [leer]
[1] [...] [Alph]onse & Louise vont bien aujourd’hui, Monsieur. Alphonse est levé & Louise n’est retenue dans son lit que par le pied. je crois qu’elle pourra reprendre demain son train ordinaire.
J’espère, Monsieur, que vous n’avez point souffert hier de votre rhumatisme. J’en veux à
M. Eynard qui vous a enlevé pour toute la soirée. Quand pourrai-je vous demander sans indiscrétion la mémoire sur la Bactriane? Il falloit que vous vinssiez des bords du Rhin pour me rappeller comment on écrivait le français au temps de Pascal, jusqu’à Voltaire.
Bien des respects
X Doudan
vendredi.
[2] [leer]
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