Vous aviez très bien lu mon ecriture, et c’est par pure malice que vous faites semblant d’éprouver le moindre embarras en la déchiffrant; c’est afin de m’obliger à confesser ma misere, et à avouer que je n’ai pas même le plus pauvre petit secretaire vous mériteriez que je gardasse l’ecritoire pour vous punir; mais je n’en ferai rien, et à mon retour à Paris, je vous l’expedierai avec la précaution que vous m’indiquez. En attendant, veuillez être moins satyrique et l’avenir, et ménager vos anciens amis
Votre affectionné
V. Broglie
Coppet 7 Xbre
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