• Auguste Louis de Staël-Holstein an August Wilhelm von Schlegel

  • Absendeort: Coppet · Empfangsort: Paris · Datum: 28.09.1820
Editionsstatus: Neu transkribiert und ausgezeichnet; zweimal kollationiert
    Briefkopfdaten
  • Absender: Auguste Louis de Staël-Holstein
  • Empfänger: August Wilhelm von Schlegel
  • Absendeort: Coppet
  • Empfangsort: Paris
  • Datum: 28.09.1820
  • Anmerkung: Empfangsort erschlossen.
    Handschrift
  • Datengeber: Dresden, Sächsische Landesbibliothek - Staats- und Universitätsbibliothek
  • OAI Id: DE-611-36979
  • Signatur: Mscr.Dresd.e.90,XIX,Bd.26,Nr.51
  • Blatt-/Seitenzahl: 2 S., hs.
  • Format: 18,3 x 12,2 cm
  • Incipit: „[1] Coppet 28 Sept. 1820.
    Je suis bien coupable, mon cher Schlegel, dʼavoir tardé si longtemps de répondre à Votre lettre [...]“
    Sprache
  • Französisch
    Editorische Bearbeitung
  • Bamberg, Claudia
  • Varwig, Olivia
[1] Coppet 28 Sept. 1820.
Je suis bien coupable, mon cher Schlegel, dʼavoir tardé si longtemps de répondre à Votre lettre du 10, mais lʼarrivée dʼ
Albertine et un assez grand nombre dʼaffaires excusent un peu mon étourderie.- Je risque à tout hazard encore ces deux lignes à Votre adresse.
Je pars dans deux jours pour
Paris, mais comme il faut que je mʼarrête dans le Dept de lʼAin, je nʼarriverai que le 7 ou le 8. Albertine et Victor viendront me rejoindre avant le milieu dʼoctobre – Nous emmenons décidément Alphonse, et je serai privé par là dʼhabiter sous le même toit que Vous; mais il sera facile de Vous avoir un appartement dans la Rue de Beaune ou peut-être même plus [2] près, et Vous pourrez commodément venir déjeuner et diner chez Nous.
Adieu, mille tendres amitiés. Nous aurons tous bien de la joie à Vous revoir.
[1] Coppet 28 Sept. 1820.
Je suis bien coupable, mon cher Schlegel, dʼavoir tardé si longtemps de répondre à Votre lettre du 10, mais lʼarrivée dʼ
Albertine et un assez grand nombre dʼaffaires excusent un peu mon étourderie.- Je risque à tout hazard encore ces deux lignes à Votre adresse.
Je pars dans deux jours pour
Paris, mais comme il faut que je mʼarrête dans le Dept de lʼAin, je nʼarriverai que le 7 ou le 8. Albertine et Victor viendront me rejoindre avant le milieu dʼoctobre – Nous emmenons décidément Alphonse, et je serai privé par là dʼhabiter sous le même toit que Vous; mais il sera facile de Vous avoir un appartement dans la Rue de Beaune ou peut-être même plus [2] près, et Vous pourrez commodément venir déjeuner et diner chez Nous.
Adieu, mille tendres amitiés. Nous aurons tous bien de la joie à Vous revoir.
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