• Auguste Louis de Staël-Holstein to August Wilhelm von Schlegel

  • Place of Dispatch: Coppet · Place of Destination: Bonn · Date: 26.06.1819
Edition Status: Newly transcribed and labelled; double collated
    Metadata Concerning Header
  • Sender: Auguste Louis de Staël-Holstein
  • Recipient: August Wilhelm von Schlegel
  • Place of Dispatch: Coppet
  • Place of Destination: Bonn
  • Date: 26.06.1819
  • Notations: Empfangsort erschlossen.
    Manuscript
  • Provider: Dresden, Sächsische Landesbibliothek - Staats- und Universitätsbibliothek
  • OAI Id: DE-611-36979
  • Classification Number: Mscr.Dresd.e.90,XIX,Bd.26,Nr.35
  • Number of Pages: 3 S. auf Doppelbl., hs.
  • Format: 20,5 x 12,7 cm
  • Incipit: „[1] Coppet 26 Juin 1819
    Mad. Necker a été Vôtre traducteur, mon cher Schlegel, voulez Vous être le sien? - Son [...]“
    Language
  • French
    Editors
  • Golyschkin, Ruth
  • Stieglitz, Clara
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[1] Coppet 26 Juin 1819
Mad. Necker a été Vôtre traducteur, mon cher Schlegel, voulez Vous être le sien? - Son morceau sur le caractère et les écrits de ma mère me paroît de la plus rare distinction; il est dʼenviron 300 pages. Dʼici à 10 jours la premiere moitié en sera expédiée à MM. Treuttel & Würtz -
Si donc ma proposition Vous convient il faudroit écrire immédiatement à
ces Messieurs, pour les conditions de Votre travail et pour Vous faire envoyer les épreuves à mesure quʼelles seront imprimées - Répondez moi en même temps quelques lignes.
Voici un papier que jʼaurois dû Vous envoyer depuis longtemps; cʼest notre convention relativement aux
oeuvres de ma mère.
Je nʼai pas encore de réponse des
Cazenove sur [2] la liquidation des Tottie & Compton; mais jʼen attends une dans peu de jours.
Vous
nous manquez beaucoup, mon cher Schlegel, dans la vie philosophique que nous menons ici. Nous voyons fort peu de monde, à 10h 1/2 nous sommes tous couchés, et nous sommes sur pied à 6 h. - Jʼavance dans lʼimpression des oeuvres de ma mère et je tâche de réparer le temps perdu en étudiant - Mes récréations sont lʼembellissement de Coppet. Tout sera en désarroi pendant un an au moins; mais ensuite ce sera une belle habitation.
Jʼai cherché en vain les Cours que Vous me demandiez; les efforts de
Cachet et les miens ont été inutiles. Que peuvent ils donc être devenus - Je nʼai pas retrouvé non plus un cahier que je regrette, cʼest mon extrait du cours de philosophie de Votre frère. En avez Vous quelque notion? [3] Albertine me paroît mieux depuis son séjour ici. Elle commence à reprendre les forces qui lui manquaient. Alphonse est très-fortifié, il est agréable de figure, doux de caractère; mais il est bien difficile dʼobtenir de lui un peu dʼattention pour la moindre étude - Adieu encore, mille tendres amitiés.
[4] [leer]
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[1] Coppet 26 Juin 1819
Mad. Necker a été Vôtre traducteur, mon cher Schlegel, voulez Vous être le sien? - Son morceau sur le caractère et les écrits de ma mère me paroît de la plus rare distinction; il est dʼenviron 300 pages. Dʼici à 10 jours la premiere moitié en sera expédiée à MM. Treuttel & Würtz -
Si donc ma proposition Vous convient il faudroit écrire immédiatement à
ces Messieurs, pour les conditions de Votre travail et pour Vous faire envoyer les épreuves à mesure quʼelles seront imprimées - Répondez moi en même temps quelques lignes.
Voici un papier que jʼaurois dû Vous envoyer depuis longtemps; cʼest notre convention relativement aux
oeuvres de ma mère.
Je nʼai pas encore de réponse des
Cazenove sur [2] la liquidation des Tottie & Compton; mais jʼen attends une dans peu de jours.
Vous
nous manquez beaucoup, mon cher Schlegel, dans la vie philosophique que nous menons ici. Nous voyons fort peu de monde, à 10h 1/2 nous sommes tous couchés, et nous sommes sur pied à 6 h. - Jʼavance dans lʼimpression des oeuvres de ma mère et je tâche de réparer le temps perdu en étudiant - Mes récréations sont lʼembellissement de Coppet. Tout sera en désarroi pendant un an au moins; mais ensuite ce sera une belle habitation.
Jʼai cherché en vain les Cours que Vous me demandiez; les efforts de
Cachet et les miens ont été inutiles. Que peuvent ils donc être devenus - Je nʼai pas retrouvé non plus un cahier que je regrette, cʼest mon extrait du cours de philosophie de Votre frère. En avez Vous quelque notion? [3] Albertine me paroît mieux depuis son séjour ici. Elle commence à reprendre les forces qui lui manquaient. Alphonse est très-fortifié, il est agréable de figure, doux de caractère; mais il est bien difficile dʼobtenir de lui un peu dʼattention pour la moindre étude - Adieu encore, mille tendres amitiés.
[4] [leer]
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